Le régime en fonction du poids
- La première phase du régime hypocalorique se déroule sur 1 semaine.
- La seconde phase débute le lendemain de l'arrêt du régime. Le but est de retrouver son poids de forme.
- Les autres étapes doivent être réalisées dans les 4 semaines qui suivent l'arrêt du régime.
Les aliments à éviter
- Les boissons sucrées alcoolisées ou non.
- Les aliments trop gras.
- Les aliments trop salés.
- Les aliments transformés (restaurants, snacks, plats préparés...).
Les aliments à privilégier
- Les fruits et légumes.
- Les produits laitiers (lait, yaourt, fromage, fromage blanc, lait écrémé...).
- Les œufs.
- Les légumes verts.
- Les produits complets (sucres, farines).
- Le pain, les pâtes et les pommes de terre. Les féculents.
Le programme
Suivez les conseils de votre médecin :
- Ne pas sauter de repas.
- Faire de l’exercice au moins 2 fois par semaine.
- Eviter de prendre des aliments trop sucrés ou gras.
- Prenez un petit déjeuner équilibré.
- Boire beaucoup d'eau.
- Boire des jus de fruits et légumes (1,5 à 2 litres/jour).
- Faire attention à ce que l’on consomme pendant le repas et en cas de fringale.
- Eviter les excès de sel.
- Boire au moins 1,5 litre d’eau par jour. A consommer de préférence le matin ou en milieu de matinée avant le petit déjeuner et à boire avec des aliments ou des boissons.
Le régime hypocalorique
La première étape du régime hypocalorique est la phase de croisière. Le but est de perdre 500 g par semaine pendant la période la plus difficile de la grossesse. Cette phase dure 14 jours à compter de la date de début de la prise de la première dose de contraceptif. Pendant cette phase, il faut :
- Eviter de consommer du pain, des sucreries, des sodas, des chips, des hamburgers, des glaces, des plats en boîte, de la charcuterie, des sucreries.
- Eviter de consommer de la charcuterie, du fromage, des fruits, des laitages, du pain, des plats préparés et de la bière.
- Eviter de consommer des fruits et légumes frais.
- Faire très attention à ce que l’on consomme pendant le repas et en cas de fringale.
- Les fruits.
- Les fruits secs.
- Les fruits oléagineux.
- Les amandes et les noisettes.
- Les légumes frais.
- Les légumes à feuilles vertes.
- Les légumineuses.
- Les céréales complètes (riz, maïs, orge, avoine, quinoa, etc.).
- Les légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots, fèves, etc.).
- Les légumineuses et les céréales complètes sont riches en protéines.
- Les légumineuses et les céréales complètes sont riches en fibres.
- Les céréales complètes.
- Les légumes oléagineux (noix, noisettes, amandes, etc.) sont riches en lipides.
- Les légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots, fèves, etc.) sont riches en protéines.
En plus du régime hypocalorique, il est possible de suivre un programme pour perdre du poids. Ce programme doit être suivi pendant 4 semaines à compter de la date de la première dose de contraceptif. Les personnes doivent être attentives à :
- Eviter de consommer des aliments trop sucrés ou gras.
- Eviter de consommer des aliments trop gras.
- Eviter de consommer des aliments très caloriques (pain, pommes de terre en purée, crème glacée, etc.).
- Boire 1,5 litre d’eau par jour.
- Eviter de boire de la bière.
Comment perdre du poids en 2 semaines ?
La perte de poids est rapide avec ce régime hypocalorique, c’est pourquoi on peut perdre rapidement 1,5 à 2 kilos en 2 semaines. Cependant, cette perte de poids est très rapide et elle peut entraîner des carences nutritionnelles, des déséquilibres alimentaires, des problèmes de santé (diabète, hypertension, maladies cardio-vasculaires, obésité).
- Fatigue (30%).
- Diminution de l’appétit (40%).
- Sécheresse vaginale (25%).
- Faim (20%).
- Problèmes de digestion (30%).
- Vomissements.
Quels sont les effets secondaires ?
Ce régime hypocalorique peut avoir des effets secondaires :
Peut-on perdre du poids sans régime hypocalorique ?
Quel est le prix du régime hypocalorique ?
Le prix de ce régime hypocalorique varie selon le poids à perdre. Le prix du régime hypocalorique dépend de la pharmacie où vous faites vos achats.
Acheter des génériques de ceftriaxone pour le traitement de la gonorrhée
Depuis quelques années, les médicaments génériques sont de plus en plus nombreux, les patients étant de plus en plus nombreux à préférer prendre leurs médicaments sans ordonnance, ce qui leur permet de faire des économies en termes de médicaments et de santé. En France, la quantité de génériques disponibles a augmenté de 45 % entre 2010 et 2014, selon un rapport du ministère de la santé de mars 2017. De plus, les médicaments génériques sont disponibles à un prix inférieur d'environ 30 % par rapport à leurs homologues de marque. Cela signifie que les patients peuvent économiser jusqu'à 500 euros par an et par patient sur les médicaments de marque.
L'efficacité de ces médicaments est également significativement supérieure aux médicaments de marque. Par exemple, selon les résultats d'une étude publiée dans le British Medical Journal (BMJ) en 2016, le taux d'échec du traitement par un générique était de 1,5 fois plus élevé que celui d'un médicament de marque.
Les effets secondaires associés aux médicaments de marque sont également considérablement réduits, notamment des maux de tête, des nausées et des vomissements, des douleurs musculaires, des étourdissements et des maux de dos. Cependant, les effets secondaires associés aux médicaments génériques peuvent être plus importants que les effets secondaires des médicaments de marque. En outre, de nombreux médicaments génériques ont été classés comme "effets secondaires graves" par la Food and Drug Administration (FDA), ce qui signifie que les patients doivent recevoir une attention médicale immédiate.
En conclusion, les médicaments génériques peuvent être une option très intéressante pour les patients qui préfèrent des économies et une efficacité accrues. Cependant, il est important de se rappeler que les médicaments de marque sont toujours une option viable pour les patients. Les patients devraient toujours discuter avec leur médecin des médicaments de marque et des médicaments génériques pour déterminer lequel est le plus approprié pour leur situation.
Sources
[1] https://www.cdc.gov/chlamydophila/infection/prevention/chlamydia-prevention.html#basic_care https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3457617/ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11400073 https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1002/14651859.20170138 https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1002/14651859.20170010 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17601047 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24328510/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27709355/ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25822686 https://www.ncbi.nlm.nih.